Fragilité et limites des hypothèses génétiques
Si l’hypothèse génétique de l’autisme monopolise toujours le devant de la scène, engloutissant la quasi totalité des budgets de la recherche, ce n’est pas parce qu’il n’y a rien d’autre à envisager, tant au plan étiologique que thérapeutique, mais parce que sont les seules recherches qui ne posent pas de questions gênantes.
D’un point de vue médical, tout le monde s’accorde aujourd’hui pour dire que les troubles du spectre autistique sont associés à des facteurs génétiques. On a parfois même pu identifier des gènes précis, comme pour le syndrome de Rett, du X-fragile ou de Prader Willy.
Ces observations engendrent souvent une vision de l’autisme comme une fatalité prédéterminée et incurable. Pourtant, rien ne permet actuellement d’affirmer que l’autisme soit essentiellement la résultante d’un programme génétique déterminé, bien au contraire (+ video de Martha Herbert ‘La science au service de l’espoir’).1
Même pour les syndromes d’origine ‘purement génétique’, on peut se poser beaucoup de questions. Par exemple, certains diagnostiqués ‘Rett’ ne sont pas associés au gène MECP2, mais sont décrits comme résultant d’encéphalopathie, notamment post-vaccinale. 2
Inversement, de nombreuses personnes porteuses d’anomalies génétiques identiques (par ex. dans la fratrie) ne développent pas ces syndromes et mènent une vie normale. 3
En 2011 déjà, l’étude Hallmayer, la plus grande étude génétique sur des jumeaux, conclut que « l’autisme relève davantage de facteurs environnementaux (62%) que génétiques (38%) et qu’il est impératif d’étudier ces deux pistes et leurs interactions pour avancer sur la question ».
Enfin, il convient de se pencher d’urgence sur le fait que même dans ces pathologies fortement associées à facteurs génétiques, une intervention sur les ‘autres aspects’ par exemple microbiens, s’avère souvent efficace, avec l’avantage d’une possibilité d’intervention immédiate (contrairement à la piste génétique) Pour exemple cette étude démontrant la réduction de l’obésité dans le syndrome de Prader-Willy grâce à une intervention sur le microbiote. 4
L’augmentation des chiffres
Il est donc évident que la composante ‘épi-génétique’, au sens large, tient ici une place majeure. Par ailleurs, l’augmentation des chiffres de l’autisme, invalide à elle seule la vision du tout génétique et ne peut-être expliquée par les seuls arguments d’un meilleur dépistage, de diagnostic plus précoce ou de redéfinition des troubles autistiques. D’une part, ces facteurs ne couvriraient que la moitié de l’augmentation, (cfr. L’étude de Irva Hertz-Piciotto) 5, d’autre part, de nouveaux scandales se font jour, concernant la manipulation des chiffres.
Ainsi le dr. Pinborough Zimmerman, une des responsables du programme de tracking des taux d’autisme pour le CDC, a introduit une plainte en justice contre ses supérieurs, concernant les erreurs non corrigées et manipulation des chiffres visant à minimiser l’augmentation des taux d’autisme.6
Ainsi le taux réel serait probablement plus élevé que celui actuellement rapporté.
Afin de ne pas se perdre en conjonctures inutiles sur les chiffres de l’autisme liés à l’étendue ou non de sa définition, il serait plus utile de faire une estimation des chiffres de troubles du développement. Lorsqu’une hésitation se pose quand à la qualification d’un diagnostic d’autisme , l’alternative se situe dans d’autres diagnostics comme les troubles envahissants du développement, les multiples ‘dys’, TIC, TOC, tda/h etc.
A cet égard, il serait véritablement intéressant de développer un indice ‘bonne santé physique et mentale’ pour éviter de jongler avec les chiffres en les comptabilisant d’une catégorie à l’autre.
Gènes, environnement et facteurs déclencheurs : le cocktail explosif
Il existe d’innombrables études associant la prévalence de l’autisme à …‘quelque chose’ : les métaux lourds, les carences en vitamine D, le taux de chlore intracellulaire, les anesthésies multiples, la maladie de Lyme, les pollutions électromagnétiques, les antécédents maternels hormonaux ou auto-immunes, des affections respiratoires, les troubles métaboliques, l’usage de certains médicaments, la pollution atmosphérique, les naissances par césarienne, les perturbateurs endocriniens ou les vaccins, pour n’en citer que les principaux.
Tout cela est étayé par des publications scientifiques, sans qu’aucun facteur n’ait pu être identifié comme étant premier et déterminant. Et si l’étude de ces facteurs pris de manière isolés reste indispensable, des recherches sur la combinaison de ceux-ci s’imposent d’urgence. Pour résumer on pourrait décrire la survenance de l’autisme par la métaphore du baril.
Le baril de poudre c’est la charge toxique que chaque enfant reçoit in utero, en moyenne un cocktail explosif de 300 toxiques. La mèche, c’est l’empreinte génétique, longue ou courte selon les prédispositions. Cette mèche est humide ou sèche, sous l’influence de son milieu, c’est l’influence de l’environnement et l’épi-génétique. Enfin, il y a souvent des évènements qui risquent de mettre le feu aux poudres : stress psychologique, anesthésies multiples, maladies, accidents, vaccins. Ce sont les facteurs déclencheurs de l’autisme….
L’autisme régressif concernerait 1 enfant sur 3
La régression autistique est un sujet qui n’est que très rarement abordé. Dans une étude récente à ce sujet, réalisée sur 2000 cas, 37% des enfants avec TSA semblent concernés. L’étude se garde toutefois bien d’aborder les évènements ayant pu être associés à la régression.7
Si certains enfants présentent des troubles dès la naissance, beaucoup se développent normalement avant de régresser, parfois lentement, parfois de manière brutale, typiquement entre 15 mois et 3 ans.
On distingue des cas flagrants de ‘choc traumatique’ : perte de connaissance, convulsions, paralysie, crises de coliques dans les minutes ou heures qui suivent l’administration d’un vaccin ou un médicament. La perte du langage, de la marche, de la communication, et l’apparition de comportements liés à des douleurs comme des hurlements ou mutilations se déclarent alors en quelques heures et jours. Ces cas sont minoritaires.
Souvent, les parents décrivent plutôt un scénario de détérioration progressive. L’enfant se développe bien, jusqu’à l’apparition d’une série d’épisodes maladifs. Typiquement, une semaine après une maladie ou un rappel de vaccins, il tombe malade et enchaîne bronchites, gastro-entérites ou des otites séro-muqueuses. Il reçoit alors d’importantes doses d’antibiotiques et d’antipyrétiques. Le problème devient chronique et l’enfant s’enferme et semble perdre petit à petit ses facultés sociales et cognitives, alors que des comportements agressifs et répétitifs apparaissent. Au bout de quelques mois, il faut constater qu’au lieu d’évoluer l’enfant a perdu ses acquis. Il est méconnaissable.
Malheureusement, il est tout à fait exceptionnel que ces faits soient consignés et reconnus, encore moins dans des rapports officiels. Pour comprendre le phénomène et son ampleur, on pourrait enquêter auprès des associations et des médecins. Parmi les très nombreux témoignages de parents que nous (l’auteur, ainsi que des associations sur les risques liés à la vaccination) recevons depuis des années, il n’y en a pas un seul pour lequel les effets secondaires liés à l’apparition d’une maladie ou à un acte médical aient été consignés ou investigués.
Depuis des décennies les observations liées à l’autisme régressif sont interprétées comme des ‘hasards de calendrier’.
Les hypothèses liées au déclenchement post-vaccinal
Dans ce puzzle multifactoriel de l’autisme, la question des vaccins est une pièce majeure et délicate. Quand on en parle, c’est comme si le reste n’existait plus et quand on en parle pas, il manque un élément majeur au tableau. Penchons-nous sur quelques hypothèses associant vaccin et autisme .
Le vaccin ROR, persistance chronique de la souche vaccinale dans les intestins (dr. Andrew Wakefield)
La première hypothèse est celle du docteur Wakefield et concerne plus particulièrement le vaccin ROR. Dans son étude originale de 1998, il observe chez plusieurs patients autistes, des problèmes gastro-intestinaux importants qui semblent liés à la présence de la souche vaccinale du vaccin ROR. Ces problèmes gastriques compromettraient à leur tour le bon fonctionnement cérébral. Malgré le fait que cette étude ait été répliquée de nombreuses fois, dans différents pays et que le docteur Wakefield ait été entièrement réhabilité et blanchi de toutes les accusations dont il a été victime, cette étude est toujours taxée de frauduleuse. L’ouvrage « Vérité sur l’autisme post-vaccinal » du journaliste Martin Walker, reprend d’ailleurs les témoignages des parents concernés par cette affaire, ainsi que le harcèlement subi pour avoir soutenu le dr. Wakefield.
Concernant l’aspect scientifique de cette hypothèse, elle pourtant pas été réellement investiguée par les organismes officiels tels le CDC et le National Academy of Pediatrics autrement que d’un point de vue statistique. D’autant que l’on sait aujourd’hui que la fameuse étude du CDC de 2004, censée rassurer le public en rejetant ses conclusions, a été l’objet d’une gigantesque manipulation, puisqu’au contraire les chiffres semblaient confirmer les découvertes de Wakefield par une augmentation de 340 du risque chez les population de type afro-américaines et hispaniques. (voir le documentaire Vaxxed à propos de cette fraude).8
Notons pourtant qu’une méta-analyse portant sur les publications des 15 dernières années confirme le fait que près de 70% des autistes souffrent de troubles intestinaux. Mais parler ‘intestin’, c’est risquer de sortir de la zone de confort ‘génétique’.
Le thiomersal, adjuvant à base de mercure
Une autre hypothèse concernant des réactions vaccinales est celle de la réaction à l’adjuvant ‘thiomersal’ dérivé du mercure et présent dans certains vaccins (anciennement ROR, et aujourd’hui encore plusieurs vaccins dont ceux de la grippe). On note que beaucoup de symptômes liés à une intoxication au mercure s’apparentent aussi aux troubles associés à l’autisme. Ainsi l’accumulation de mercure dans l’organisme suite à des vaccins successifs provoquerait une intoxication lourde aux effets neuro- et geno-toxiques.
On citera ici les travaux de Boyd Haley, et plus récemment l’enquête du journaliste Robert Kennedy Jr. Intitulée « Thimerosal ». Dans cet ouvrage, il aborde non seulement toutes les études concernant la toxicité du thimerosal, mais il dévoile également les très nombreux faits de corruption et d’intérêt du CDC et du gouvernement US pour dissimuler les effets néfastes du mercure. 11
Cependant la problématique du mercure et de l’autisme, mérite d’être abordée dans le cadre plus large que celui de la vaccination. Le brillant ouvrage de Dan Olmsted et Mark Blaxill « Age of autism » 12, en retraçant d’abord les usages du mercure et les intoxications associées dans l’histoire de la médecine occidentale, nous révèle que dès les tous premiers cas d’autisme, dans la cohorte initiale de Leo Kanner, nous retrouvons plusieurs suspicions d’intoxication au mercure, voire de conséquences vaccinales.
Selon de nombreux témoignages et notre expérience personnelle, la charge en mercure serait non seulement due à l’adjuvant vaccinal, mais aussi à la toxicité héritée in utero, en rapport avec les amalgames dentaires.19
La dérive d’une ‘hyper-réaction immunitaire’ vaccinale vers une réaction auto-immune chronique et l’âge de la vaccination (dr. Russel Blaylock)
Dans « Les dangers de la vaccination excessive durant le développement cérébral » le docteur Russel Blaylock résume une quantité importante d’études pointant vers une ‘dérive’ du mécanisme de la réaction immunitaire vaccinale vers une réaction auto-immune de type chronique.
La stimulation immunitaire répétée induirait une activation prolongée et excessive des cellules micro-gliales en interaction avec les cytokines inflammatoires et certains type de récepteurs GABA. Le mécanisme serait aggravé par de nombreux facteurs environnementaux, ainsi que par un phénomène de ‘dommage collatéral’ lié ea. à la production massive de radicaux libres et de peroxidation des lipides. La puissance de cette ‘attaque’ immunitaire endommagerait alors les structures synaptiques du cerveau en développement.
L’âge de l’individu joue ici un rôle déterminant, car le type de réponse immunitaire varie d’après la phase de développement entre les réactions de type th1 telles que dans la réponse virale classique et th2 qui diminue la réaction immunitaire tout en favorisant la production d’anticorps. Une étude sur le vaccin Hep B, révèle que la réaction observée est différente chez les adultes (th1) que les enfants en bas âge (th2) où elle peut persister durant plusieurs années.
L’hyper-immunité et l’anoxie cérébrale (Feu dr. Andrew Moulden)
Un éclairage supplémentaire est apporté par le dr. Andrew Moulden qui affirme avoir observé des accidents micro-vasculaires suite aux vaccinations. Il note une surproduction de leucocytes engendrée par la stimulation immunitaire qui endommage et bloque les capillaires présents dans le tissu cérébral. Cet effet engendre alors une diminution de l’irrigation du cerveau, privé d’une partie de son sang et de son oxygène, ainsi que la formation de caillots, et l’altération de la viscosité du flux sanguin cérébral.
Ceci serait aggravé par la diminution de ce qu’il appelle le potentiel zeta, c’est à-dire la charge électrique négative des cellules sanguines favorisant la fluidité et le transport sanguin. Cette diminution de la charge électrique cellulaire résulterait en une agglomération et coagulation accélérée. L’aluminium par exemple serait particulièrement nocif à cet égard.
Le canadien Andrew Moulden n’a jamais trouvé de soutien auprès de ses collègues en raison de ses prises de position et de sa personnalité extrêmes, qui l’on mené jusqu’à la fondation d’un parti politique ‘anti-vaccinaliste’. La tonalité agressive de ses travaux et sa disparition précoce à 49 ans, n’en font pas une référence aisée dans le monde scientifique. Mais plusieurs recherches actuelles, semblent se diriger vers des pistes similaires
Nouvelles hypothèses liées aux ROR : le paracetamol (S. Seneff, W. Shaw)
C’est en se penchant (enfin !) sur les données récoltées dans les registres du VAERS qui reprennent les cas enregistrés d’accidents vaccinaux que la chercheuse Stephanie Seneff du MIT confirme le lien statistique en vaccin et ROR, avancé par Wakefield.
Une nouvelle piste se dégage alors, celle du paracetamol (ou acetaminophène) souvent administré de manière systématique après ou même avant le vaccin afin d’en prévenir les effets secondaires telles que fièvre ou douleur.15, 16
Selon le dr. William Shaw qui a réalisé une étude comparative à Cuba où le taux d’autisme est 3 fois moins élevé qu’aux USA, le paracetamol pris dans la grossesse aurait un effet sur le développement du foetus affectant le cerveau (cerebellum) et les poumons. Le paracetamol inhiberait la production d’un enzyme appelé NAPQI altérant les voies du metabolisme (glucorono – et sulfoconjuguaison), produisant un effet toxique et saturant le gluthation. Ce qui empêcherait l’individu de lutter contre l’inflammation et d’éliminer les toxines. 17
Nouvelles hypothèses liées aux ROR : glyphosate (pesticide du roundup), glutamate et aluminium
(Stephanie Seneff)
Toutefois , c’est en examinant l’augmentation significative des réactions post-vaccinales au ROR enregistrées à partir de 2002, qu’une explication complémentaire se profile : l’introduction du glutamate dans les vaccins (MSG monosodium de glutamate). Combiné à l’effet du glyphosate qui ouvre la barrière intestinale et la barrière hémato-céphalique, le glutamate serait associé à des réactions épileptiques, à une de l’inflammation cérébrale avec une augmentation de la taille du cerveau et à des perturbations du sommeil.
Quant au glyphosate, il aurait d’une part un effet synergique avec le glutamate en épuisant les réserves de manganèse ce qui exacerbe la toxicité liée au glutamate. D’autre part, un effet synergique avec l’aluminium qu’il ‘absorbe’ (par chélation) en affectant sa charge négative (cfr Moulden) le rendant ainsi plus toxique et le transportant vers le cerveau et les glandes endocrines, notamment la pinéale qui produit la mélatonine et régule le sommeil.
Enfin il empêcherait les bactéries de notre intestin de produire certains acides aminés, dont le tryptophane, justement précurseur de la mélatonine et de la sérotonine. 17
Un tableau accablant…
En survolant ces quelques hypothèses, l’on observe que la majorité de ces recherches se soutiennent et se complètent tout en abordant le sujet de la régression vaccinale et des facteurs environnementaux sous des angles différents. A la lumière de ces éléments, il est indispensable d’approfondir les recherches à propos des mécanismes de la vaccination et des réactions post-vaccinales, ainsi qu’au sujet de la régression autistique.
‘Balancer’ quelques chiffres statistiques issus de données confidentielles, et marteler le crédo vaccinal afin de ‘rassurer la population’, n’est plus admissible. Toutes ces hypothèses doivent être examinées au plus près, comme il convient désormais d’enquêter auprès des familles et médecins ayant constaté un ‘accident vaccinal’. Actuellement ce n’est pas le cas.
On doit aussi s’interroger sur le système aberrant de nos politiques de santé, dont les décisions sont fondées sur l’avis d’une poignée d’experts, émanant d’un organe fermé, miné par la corruption et les intérêts politiques, comme le CDC.
L’avis du CDC est celui sur lequel se fondent les recommandations des l’OMS et des états du monde entier. Est-il normal que la santé de tous les habitants de cette planète repose entre les seules mains de quelques fonctionnaires américains et de leurs acolytes des compagnies pharmaceutiques ?
Qu’arrive-t-il s’il se base sur une vision unique et obsolète de la médecine ? Ou s’il est entaché d’erreur, d’incompétence ou de fraude ?
A l’heure actuelle, ce ne sont pas les hypothèses, les données ou les études qui font défaut. Ce sont l’honnêteté scientifique et l’intégrité, la volonté de mettre la médecine au service du patient, et non au service de l’économie.
Remplacer une politique de chiffres, par une politique de l’éthique, est une responsabilité à la fois collective et individuelle. Le sort de nos enfants en dépend.
Senta Depuydt
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- Déclenchement de Rett postvaccinal :
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12503649)
- Martha Herbert« The autism Revolution »,
- Sheldon Krimsky and Jeremy Gruber « Genetic explanations : sense and nonsense »
4 Liping Zhao « Dietary modulation of gut microbiota in genetic and non genetic obesity »
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4563136/
- 5. Ira Hertz-Piciotto and Delwiche
http://www.environmentalhealthnews.org/ehs/news/autism-and-environment
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19234401
6.Dr. Pinborough-Zimmerman
http://ahrp.org/tag/dr-judith-pinborough-zimmerman/
http://www.ageofautism.com/2016/03/utah-whistleblower-lawsuit-alleges-data-errors-and-research-misconduct-as-cdc-report-releases-us-autism-rate-of-15-1.html
- Goin-Kochel RP. et al. Developmental regression among children with autism spectrum disorder: Onset, duration, and effects on functional outcomes. Res Autism Spectr Disord. 2014; 8: 890-898
- “Vaxxed: from cover up to catastrophy”, Del Bigtree et Andrew Wakefield
- Prof. Tim Buie, Harvard Medical School
Buie T, Campbell DB, Fuchs GJ 3rd, Furuta GT, Levy J, Vandewater J, et al. Evaluation, diagnosis, and treatment of gastrointestinal disorders in individuals with ASDs: a consensus report. Pediatrics. 2010;125(suppl 1):S1-18
10 Boyd Haley
11 Robert Kennedy Jr.,Thimerosal: Let the Science Speak: The Evidence Supporting the Immediate Removal of Mercury–a Known Neurotoxin–from Vaccines, 2014
12 Dan Olmsted et Mark Blaxill « The Age of Autism: Mercury, Medicine, and a Man-Made Epidemic », 2014
13 Russel Blaylock
http://healthimpactnews.com/2015/dr-russell-l-blaylock-m-d-the-danger-of-excessive-vaccination-during-brain-development-link-to-autism/
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19043938
14 Andrew Moulden http://healthimpactnews.com/2015/dr-andrew-moulden-every-vaccine-produces-microvascular-damage/
15 Acetaminophen (paracetamol) use, measles-mumps-rubella vaccination, and autistic disorder: the results of a parent survey.
Schultz ST1, Klonoff-Cohen HS, Wingard DL, Akshoomoff NA, Macera CA, Ji M.
16 Empirical Data Confirm Autism Symptoms Related to Aluminum and Acetaminophen Exposure
Stephanie Seneff 1,*, Robert M. Davidson 2 and Jingjing Liu
17 William Shaw
http://www.autismdailynewscast.com/new-research-claims-use-of-acetaminophen-paracetamol-correlates-with-autism-and-adhd-diagnosis-rise/4195/shanellis/
- Beecham JE and Seneff S. « Is there a link between autism and glyphosate-formulated herbicides? » J Autism 2016; 3:1
https://people.csail.mit.edu/seneff/
19 Mercure et amalgames :
association non-au-mercure-dentaire.org et l’ouvrage ‘Vérité sur les maladies émergentes’ de Françoise Cambayrac
Article paru dans la Lettre Sortir de l’Autisme 2